Démarrage en douceur du festival des Terre-Neuvas à Bobital

Démarrage en douceur du festival des Terre-Neuvas à Bobital



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Clairsemé en début d'après-midi, le public est arrivé assez tard à Bobital pour Bertignac, le premier temps fort de ce 11e festival


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La 11e édition du festival des Terre-Neuvas a démarré cet après à Bobital avec le rappeur Sinik. En ce début de festival, on est loin de l’affluence de l’année dernière, provoquée par la folie Tokio Hotel. Le pubic est arrivé plus tard, pour le premier vrai temps fort: le concert de Bertignac.

Difficile d’ouvrir un festival. Le public arrive tranquillement, le site est clairsemé. Pourtant, le rappeur Sinik s’en est plus que bien sorti. « C’est pas facile, mais le public présent devant la scène a bien répondu. C’était plutôt sympa », déclarait-il en sortant de scène, avant de repartir directement vers les Eurockéennes.

Téléphone à l'occase

C’est vrai aussi que l’affluence n’est pas comparable avec l’année dernière, où la folie Tokio Hotel avait provoqué un raz de marée de fans. Mais le plus « gros » reste à venir, avec Cali ou Scorpions. Subway Massilia sound system se sont escrimés à faire monter la pression. Mais le premier vrai temps fort, fut sans conteste le concert de Louis Bertignac.

Toujours aussi à l’aise au manche de sa six cordes, l’ex-Téléphone a mis le feu au site. Quelques minutes avant de monter sur scène, il a, en revanche, réfuter toute rumeur de reformation de Téléphone, « sauf peut-être pour un coup à l’occase. Je prendrais un coup de vieux ». Pourtant, l’ex-guitariste du mythique groupe de rock français prend son pied à reprendre les tubes de Téléphone, "Argent trop chère" ou "Cendrillon". Il est aussi encore bien vert, quand il reprend les Kinks dans une belle envollée.

Peu de temps auparavant, Didier Super a aussi mis le feu avec un spectacle déjanté qui inaugurait l’arène « Art’n’zik », où des DJ’s vont se succéder tout le week-end pour mettre le feu au nuit de Bobital.